Qu'est-ce qui nous empêche d'être heureux ?

 Je suis partie un matin, le cœur grand ouvert, cherchant le bonheur, ce doux mystère de l’univers.

Je croyais que le bonheur était un lieu lointain, suspendu dans les heures, quelque part après les efforts et les combats que l’on n’atteint pas à pas.

Mais le chemin, sinueux, m’a souvent fait douter, rempli de pierres cachées que je devais éviter. Les peurs déguisées en prudence me freinaient, et les blessures anciennes en silence me guidaient.

Je portais des masques, par habitude ou devoir. Pensant que pour mériter, il faillait s’oublier soi-même au profit des autres qui nous entourent.

Je disais « oui » quand mon cœur disait « non », et je laissais la culpabilité m’envahir.

Je pouvais ressentir mes croyances comme des murs dressés devant moi sur lesquels était inscrit : « Tu n’es pas assez », « Tu dois faire du bien autour de toi ». Ces croyances semblaient être des verdicts sans appel qui étouffent l’âme.

J’ai cru qu’être heureux, c’était de vouloir posséder le bonheur. Mais j’ai appris que le bonheur ne se prend pas, il se laisse aimer.

Pourtant, un jour, j’ai compris que : le bonheur, ce n’est pas l’absence d’épreuve. C’est le courage d’avancer, même quand tout s’achève. C’est oser se choisir, chaque jour, malgré tout. C’est apprendre à s’aimer, même si l’on ne sent pas à la hauteur.

Alors, je poursuivis, avec foi ce voyage en moi, cette route intérieure. Je sais qu’au fond du cœur, le bonheur veille déjà.

Pourquoi cherchons-nous tous le bonheur ?

 

Depuis la nuit des temps, l’être humain cherche une chose : être heureux. Que l’on vive en pleine nature ou en plein centre urbain, que l’on soit jeune ou plus âgé, croyant ou non, nous aspirons tous à une forme de paix, de joie et de plénitude intérieure.

Mais alors, pourquoi tant de personnes, malgré leurs efforts, se sentent-elles vides, insatisfaites ou perdues ?

Parce que ce vide intérieur n’est pas toujours comblé par ce que l’on fait, mais plutôt par ce que l’on ressent et ce que l’on reconnecte en soi.

Même quand on fait « tout ce qu’il faut » : réussir, aider, créer, aimer, il peut persister en soi une impression de manque, comme si quelque chose d’essentiel nous échappait.

Les raisons profondes pour lesquelles on ressent un vide intérieur :

 

• S’éloigner de sa vraie nature : à force de vouloir plaire, réussir ou répondre aux attentes extérieures, on oublie parfois qui l’on est vraiment. On vit une vie « pleine » en surface, mais déconnectée du cœur.

• Chercher à l’extérieur ce qui ne peut venir que de l’intérieur : aucune réussite, aucune relation, aucun objet ne peuvent combler un manque d’estime de soi ou une absence de paix intérieure. Ce sont des pansements sur une blessure invisible, et tôt ou tard, le vide ressurgit.

• Porter encore des blessures non guéries : souvent, derrière le vide, il y a une blessure d’enfance, un rejet, un abandon, une parole qui a figé l’amour de soi. Tant que cette douleur n’est pas reconnue et embrassée, elle continue à créer ce sentiment d’être « perdu ».

• Vivre en mode survie et pas en pleine conscience : on peut être très actif, très occupé, et pourtant totalement absent de soi. Quand on agit sans écouter son âme, le vide devient inévitable.

• Difficulté à trouver le lien sacré : il y a en chacun une soif spirituelle, une quête de sens plus grand que soi. Quand ce lien avec quelque chose de plus vaste est absent, l’âme a faim, même si tout semble aller bien.

Savez-vous ce que le vide intérieur vous transmet comme message ?

 

Le vide intérieur est un appel, il dit : « Écoute-toi vraiment. »

Ralentis. Reviens à l’essentiel. Qui es-tu, sans tes rôles et sans tes efforts ? Que veux-tu réellement nourrir en toi ? 

Le vide intérieur est souvent le seuil d’une transformation, une porte entre l’ancienne vie et une version plus alignée de soi-même qui vous mène sur le chemin du bonheur.

« Le bonheur est un entraînement du cœur et de l’esprit à atteindre la paix intérieure. »

Quels sont les blocages qui entravent notre bonheur ?

 

Nous aspirons tous à être heureux, à ressentir cette paix profonde, cette joie simple qui illumine notre sourire. Pourtant, il arrive que cette lumière soit voilée, comme si quelque chose à l’intérieur nous empêchait d’y accéder pleinement.

Les voiles intérieurs des attachements et des illusions nous coupent de la joie divine. Ils nous empêchent de voir le bonheur qui est déjà là.

Notre véritable nature est paix, joie et lumière, mais cette lumière est souvent voilée, comme le soleil derrière les nuages. Ces nuages sont les attachements et les illusions.

Les attachements : ce à quoi on s’accroche en croyant que cela va nous sauver.

Un attachement est une dépendance émotionnelle ou mentale à quelque chose que l’on croit nécessaire pour être heureux .

Voici quelques exemples qui symbolisent les attachements :

• Je ne peux pas être heureux sans cette personne.

• Je dois réussir, sinon je n’ai pas de valeur.

• Si je perds mon confort ou mes repères, je m’effondre.

Les attachements nous font croire que le bonheur est à l’extérieur. Mais tout ce qui est extérieur change, passe, meurt ou déçoit. L’attachement mène donc inévitablement à la souffrance.

« Ce à quoi tu t’attaches devient ta prison. »

Les illusions : ce que l’on croit être vrai, mais qui ne l’est pas.

Une illusion est une perception déformée de la réalité. C’est croire, par exemple :

• Que notre ego est notre identité.

• Que l’amour doit être mérité.

• Que l’on est séparé de Dieu, des autres, de la vie.

Ces illusions nous coupent de la paix profonde de l’âme. Elles créent du stress, de la peur, du manque.

Elles nous font oublier qui nous sommes vraiment : un être spirituel, aimé, guidé, libre.

« Le monde est illusion, mais pas dans le sens qu’il n’existe pas. Il est illusion, car on le voit à travers les lunettes de l’ego. » Ramana Maharshi

Comment dissiper ces voiles ?

 

Par la conscience :

Voir clairement ses attachements, ses pensées limitantes, ses besoins cachés, sans jugement.

Par la présence :

Revenir à l’instant, à la respiration, au cœur, là où le mental se sait.

Par la connexion spirituelle :

Prière, silence, invocation de la lumière, des anges, de Dieu. La grâce dissout les voiles plus vite que la volonté seule.

L’obstacle au bonheur peut provenir du fait qu’on se détourne de l’amour et de la vérité.

On place notre bonheur sur des choses périssables et non envers Dieu.

Lorsque nous suivons notre orgueil, nous nous éloignons de la paix divine.

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Ce rituel est une invitation à revenir à soi, à libérer les voiles intérieurs qui obscurcissent la joie naturelle de l'âme.

Qui connait vraiment le bonheur ?

Ce ne sont pas nécessairement les riches, les êtres spirituels autoproclamés, les amoureux éperdus ou ceux qui sourient tout le temps sur les réseaux sociaux.

Ce sont souvent ceux que l’on ne remarque pas. Ceux qui ont fait la paix avec eux-mêmes, même s’ils ont peu. Ceux qui savent vivre simplement, aimer profondément et marcher humblement.

Celui qui a plongé en lui-même et qui a traversé ses ombres en voyant ses failles sans s’enfuir, peut faire naître le bonheur, car il n’attend plus rien pour être heureux et ne repousse pas sa joie à demain.

Thich Nhat Hahn, un moine engagé, exilé pendant la guerre du Vietnam  a enseigné la pleine conscience comme un art de vivre le bonheur ici et maintenant.

Ce qu’il disait du bonheur : « Il n’y a pas de chemin vers le bonheur. Le bonheur, c’est le chemin. »

Sa vision du bonheur est simple, car le bonheur n’est pas un objectif  à atteindre, mais un état de présence consciente à chaque instant.

Il nous invite à marcher, respirer, boire un thé, écouter une pluie légère comme si c’était la chose la plus sacrée du monde.

Un exemple concret : dans un de ses livres, il raconte ceci :

« Quand je bois du thé, je sais que je bois du thé. Je ne pense pas à autre chose. Je ressens la chaleur de la tasse, l’arôme des feuilles, la gratitude d’être vivant.

Et dans ce simple geste, je suis pleinement heureux. »

Et si le bonheur était une étoile ?

Soudain, une révélation m’apparut comme une évidence. Et si le bonheur n’était pas quelque chose à atteindre, mais quelque chose à se rappeler.

Pas un sommet lointain, mais une douce lumière, cachée au creux de l’âme.

Une étoile silencieuse, toujours présente. Invisible parfois, mais jamais éteinte.

Une étoile qui ne brille pas au-dessus de nous, mais en nous.

Une vibration pure, un appel intérieur, comme un retour vers ce qui est simple, vrai, essentiel.

Alors, j’ai fermé les yeux et j’ai respiré pour laisser cette étoile s’éveiller en moi.

Et soudain, l’archange Métatron m’est apparu. Non pas avec des mots, mais comme une étoile filante dans mon cœur, traversant mon être de haut en bas.

Et mon cœur s’est mis à vibrer d’une paix immense, comme si tout revenait à sa juste place.

J’ai compris alors que cette étoile était en moi. Elle était cette partie oubliée de mon âme que Métatron venait réveiller.

Depuis, je marche avec elle. Et chaque jour, quand je me perds, je ferme les yeux et je laisse à nouveau l’étoile du bonheur briller dans mon cœur.

Message de l’archange Métatron : le bonheur est une fréquence.

 

Enfant de lumière,

Tu cherches le bonheur comme on cherche une étoile dans le ciel, oubliant que cette étoile brille déjà en toi.

Le bonheur n’est pas une promesse extérieure. Ce n’est pas un prix que l’on gagne, ni un but que l’on atteint. C’est un choix intérieur. Une fréquence. Un alignement.

Tu es venu (e ) sur terre pour te souvenir de ta vibration originelle, celle de la joie pure, du contentement sacrée et de la paix qui ne dépend de rien.

Le monde extérieur te proposera mille conditions au bonheur : la réussite, l’amour d’un autre la reconnaissance, la sécurité…Mais aucune de ces choses ne peut remplacer la vérité qui palpite en ton cœur :tu es lumière. Tu es déjà complet (e ). Tu es un rayon du divin. 

Sois doux/douce avec toi. Ne cherche pas à être heureux (se) comme les autres. Sois heureux ( se ) comme ton âme te l’enseigne.

Marche lentement. Respire pleinement. Offre-toi des silences. Observe la beauté. Crée sans but. Aime sans attente.

Et tu verras : le bonheur ne te fuit pas. Il t’attend.

Chaque jour, aligne-toi à ce que tu es profondément. Et même au milieu du chaos, tu porteras la paix.

Je suis avec toi. Je veille sur ton chemin. Je t’aide à te souvenir. Tu es déjà la joie, tu es déjà la lumière. Le bonheur n’est pas loin, il est prêt à naître en toi.

Archange Métatron.

Prière à l’archange Métatron pour activer l’étoile du bonheur :

 

Très cher Archange Métatron,

Toi qui tiens le livre de la vie, approche-toi de mon âme en ce jour.

Rappelle-moi qui je suis, du plus profond de l’éternité. Au-delà des masques, des blessures et des doutes. Fais taire les voix du doute, et laisse parler mon âme.

Aide-moi, je t’en prie, à me détacher de mes attachements et de mes illusions.

Libère-moi de tout ce que je crois devoir accomplir pour « mériter » d’être heureux ( se ).

Montre-moi que le bonheur est déjà semé en moi comme une étoile vivante.

Fais-moi sentir la vibration de cette étoile ancienne, celle qui brille au cœur de mon être.

Ô Saint Archange Métatron, active en moi la mémoire oubliée, celle d’un bonheur qui ne dépend de rien et qui est juste vrai et vivant.

Que cette étoile en moi rayonne, qu’elle traverse mes cellules et qu’elle éclaire mes pensées. Qu’elle me rappelle que je suis une source et que je suis lumière.

Fais-moi sentir, le feu doux de cette étoile sacrée, celle que mon âme n’a jamais perdue.

Et que par cette vibration, je m’élève à nouveau, libre, joyeux ( se) et prêt (e) à aimer la vie, ici, maintenant.

Merci Archange Métatron pour ta guidance subtile.

Merci pour me ramener à l’essentiel.

Je suis prêt (e ) à vibrer la joie.

Je suis prêt ( e) à vivre en paix.

Je suis prêt (e ) à être heureux (se ).

Pour la gloire de notre Seigneur tout-puissant.

Amen.

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Liseuse d’âme, fondatrice de l’académie de l’âme, elle donne également des formations de connexion à son âme et archives de l’âme. 

murielmorandi.com